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Wednesday 19 May 2004

Allergie

Je crois que c'est officiel : j'ai les yeux qui pleurent, le nez qui coule, etc. Je suis allergique.

Ce qui est amusant (d'un point de vue scientifique plus qu'autre chose...), c'est que je n'étais pas allergique auparavant, même l'an dernier. Et là, je ne sais pas si c'est le pollen ou la pollution, mais cela me frappe de plein fouet. Et pas avec un petit fouet, non, mais avec un fouet énorme... Déjà, j'avais remarqué une petite tendance allergique avec les chats depuis quelques mois...

Voilà, je suis donc maintenant un fier membre du club des allergiques. Merci de m'accueillir parmi vous, amis allergiques !

Tuesday 18 May 2004

Sondage sur la radio

Voici une petite histoire qui m'est arrivée il y a quelques semaines. Rien de bien passionnant, mais c'est amusant...

C'était un samedi, vers 11 heures. Le téléphone sonne. Je décroche, bien évidemment. Un monsieur très poli commence à me parler. Il m'informe qu'il souhaite me faire participer à un sondage sur la radio. Mon numéro a été tiré au hasard, m'annonce-t-il. Pour une fois, le hasard me désigne, mais j'avoue que j'aurais préféré que ce soit lorsque je joue loto. Certes, je ne joue jamais au loto, mais ce n'est pas une raison !

Puisque je n'avais rien à faire de spécial et que c'est toujours amusant de faire un sondage, j'accepte de continuer. Avec une voix très polie de sondeur débutant qui lit les choses à dire une à une sur un écran d'ordinateur, le sondeur m'informe que toutes les données collectées sont anonymes et ne pourront pas m'être reliées. J'apprécie tout de même cette précision importante, puisque je suis un maniaque de la protection de la vie privée.

Et on arrive enfin aux questions. Quel âge ai-je ? Après cinq secondes de réflexion (come à chaque fois), je réponds. Où habite-je ? Il est facile, ce sondage, me dis-je. Quelle est ma catégorie socio-professionnelle ? Ah... Et là, on entre directement dans un des problèmes débattus en ce moment. Car je suis doctorant. Mais doctorant, ce n'est pas un statut. En général, on dit que les doctorants sont des étudiants. C'est vrai, puisque j'ai une carte d'étudiant. Mais je suis aussi salarié. Aïe. Je vais donc dire que je suis salarié. Bon, alors quelle catégorie socio-professionnelle ? Allez, hop, on va dire enseignant-chercheur puisque je suis moniteur. Evidemment, « enseignant-chercheur », ça rentre dans la case « chercheur ». Soit. Signalons ici que lorsque je suis allé assuré mon appartement, on m'a mis dans la case « Etudiant IUFM ». Bref, je n'ai pas de statut très précis...

Donc, pour le sondeur, je suis un chercheur. Cela n'a pas l'air de lui convenir. Il doit en référer à son chef. Après quelques secondes d'attente, j'apprends que ce n'est pas encore l'heure d'interroger des gens de ma catégorie socio-professionnelle. Pardon ? Il est trop tôt pour interroger un chercheur ? C'est une méthode de sondage très intéressante qui croise l'heure avec la catégorie socio-professionnelle, méthode dont je n'avais jamais entendu parler. On me rappellera plus tard, m'informe le sondeur. Bien. Soit. D'accord. Au revoir.

Le sondeur a rappelé, m'informe mon téléphone le soir-même. Je n'étais pas là. J'aurais dû dire que j'étais étudiant.

Tuesday 4 May 2004

Page 23

Ouvrez le livre le plus proche à la 23e page, lisez et recopiez la cinquième phrase de cette page et faites suivre le message.

Le contenu général de la modernité entre en opposition avec les formes fossilisées et tronquées que prend cette modernité dans le projet de la société industrielle.

Ulrich Beck, La société du risque

J'ai vu cela ici pour la première fois, mais ça commence à être à la mode donc je le fais aussi :-)

Saturday 24 April 2004

Travail, appartement...

Cela fait un bout de temps que je n'ai rien écrit. Et il s'en est passé des choses...

Tout d'abord, cela fait plus de deux semaines que je travaille bien, en quantité et en qualité. Et cela se ressent : des résultats techniques sont là et d'autres résultats peuvent suivre. Et donc en ce moment, je suis content d'aller travailler le matin et je ne rentre pas toujours très tôt.

Le deuxième bon point, c'est que j'ai trouvé un appartement. Quand je regarde mes prérequis, je crois que tout est satisfait : il s'agit d'un T2 (quelqu'un connait la signification exacte de T2 ?) de 40 m², situé dans la Grande rue de la Tronche. Le loyer est de 473 euros, ce qui va bien amputer mon petit budget mensuel, mais c'était presque impossible de trouver moins cher... J'ai signé hier et je prends possession des lieux le 1er juin. Je vais pouvoir laisser libre cours à mon esprit de décorateur car il y aura bien plus de place que dans ma petite chambre actuelle. Le seul mauvais point est qu'il va falloir s'attaquer à toutes les paperasseries...

Bien sûr, à côté de cela, il y a des points négatifs. Je n'ai notamment plus le temps d'avoir une activité utile pour GNOME...

Friday 26 March 2004

Les informaticiens sont-ils heureux ?

Il semblerait que non. Seul un informaticien sur sept est très heureux. Il est dur d'évaluer si ce résultat a un sens (sondage effectué sur 1054 employés de différents secteurs), mais en tout cas, je ne peux pas en tirer de leçon pour mon avenir puisque le pourcentage est le même pour les chercheurs !

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by Vincent